Tu deviens quoi, Thomas?

Vous vous êtes sûrement déjà demandé « mais qu’est-ce qu’il devient? » en pensant à un ancien coéquipier perdu de vue. Et bien ce tout nouveau concept va vous permettre d’enfin obtenir une réponse! Chaque semaine, nous prendrons des nouvelles d’un ancien joueur ayant porté les couleurs verte et blanche : Que fait-il maintenant dans la vie, quel souvenir mémorable retient-il de son passage à l’USOF, quels ont été ses voyages, ses rencontres,…

Pour ce premier opus, nous sommes partis à la rencontre de Thomas Bou Jaber, de la génération 1997. Après son départ de l’USOF, Thomas s’est mué en véritable globe-trotteur à la conquête de l’Asie et de l’Océanie! Désormais installé sur Nantes, celui que l’on surnomme « Real Kebab » garde de nombreux souvenirs en tête de ces années au club. Notamment cette causerie d’avant-match que le coach de l’époque a effectué devant… les forces de l’ordre.

 

Sa vie actuelle :

« Pour moi tout va bien, je suis sur Nantes depuis Juillet 2023. Je suis consultant pour une boite de télécommunications, ce qui peut m’amener à pas mal bouger pour le travail!

Thomas et l’USOF :

J’ai joué à l’USOF de mes 6 ans à mes 23 ans, donc 16/17 ans au club environ. Ma génération, c’est des gars comme Hugo Kerneve, Fabien Ribau, Valentin Genouvrier, Thomas Heude, … En gros, les 1997. On a eu l’entente Orgères-Bourgbarré en U15/U17 de mémoire donc je les connais bien aussi.

Un souvenir marquant :

Beaucoup de souvenirs! Il y a eu la montée en D2 en 2018 je crois, où on explose tout le championnat avec l’équipe 1 avec 100 buts en championnat ou pas loin. C’était vraiment une année de folie. Également, la plus marquante, c’est une soirée du foot qui finit en boîte sur Rennes avec Beufa, Fab Lelu, P’tit Louis et le coach de l’époque (nous ne dévoilerons pas son identité). Tout se passe bien jusqu’à ce qu’on prenne le bus de 6h30 pour rentrer. Embrouille entre le coach, Beufa et le chauffeur. Les contrôleurs qui arrivent, la police ensuite et le coach qui se fait embarquer! À midi, on se retrouve sans coach pour jouer notre match. C’était assez incroyable!

L’anecdote :

Enfin, pour l’anecdote, j’ai eu l’occasion pendant mon voyage de passer par Singapour et du coup l’Australie aussi. J’ai pu jouer au foot dans ces deux pays. À ce moment-là, ça faisait 2/3 ans que j’avais pas vraiment touché un ballon. Dans les deux cas, c’était l’équivalent de joueurs de D1/R3 de ce que j’ai compris, et mon dieu qu’est-ce qu’ils étaient éclatés.  Le niveau est très très faible par rapport à chez nous, même s’il y a quand même une grosse « communauté » football dans ces deux pays. Pour les joueurs de l’USOF qui rêvent de carrière pro, je vous invite à tenter votre chance en Australie, le champ est libre et il y grave moyen de percer! J’étais loin d’être ridicule avec une condition physique négative et un toucher de balle encore pire qu’à mon prime! »
Merci beaucoup à Thomas pour son témoignage.
La semaine prochaine, nous prendrons des nouvelles de Maël, son frère! N’hésitez pas à nous soumettre des noms pour lesquels vous souhaitez savoir ce qu’il ou elle devient!